Cercles concentriques et archéologie dans le monde : Archéologie mystérieuse

L'une des questions archéologiques les moins débattues, mais néanmoins fascinantes, est celle relative à la représentation planétaire des cercles concentriques. Et pourtant, c'est très étrange : cette forme de représentation est très répandue, on la trouve sur les cinq continents, dans des dizaines et des dizaines de nations, elle est souvent très ancienne, elle a été réalisée dans pratiquement toutes les formes de manifestation de la pensée qui sont parvenues au cours des millénaires (pétroglyphes, gravures rupestres, peintures, créations en pierre, bijoux, bas-reliefs, représentations de tombes, urnes cinéraires, mosaïques, monnaies, créations et reproductions gigantesques sur le sol, tablettes de pierre, etc.) et, ce qui est absolument incroyable, elle a diminué de plus en plus, jusqu'à disparaître pratiquement il y a quelques millénaires. Plus tard, elle a été "remplacée" par des images similaires, mais plus aussi claires et explicites.

Or, il est étrange qu'une représentation planétaire tende à disparaître lentement, mais progressivement, de toute la planète d'une manière aussi semblable et systématique, après avoir été, partout, la raison d'une représentation systématique et iconographiquement identique, on répète : identique. Parler de combinaison ou de hasard est au moins incorrect, je m'excuse pour le terme, et certaines bêtises ne peuvent plus être lues ou entendues. Une représentation identique de Cuba à la Sardaigne, en passant par la Chine, l'Afrique du Sud et l'Australie, n'est pas une coïncidence, surtout lorsque sa propre force iconographique disparaît. En effet, elle tend à disparaître de manière lente, chronique et progressive, exactement comme cela se produit toujours pour chaque "force de la mémoire" qui s'estompe dans les générations, et les millénaires suivants.

Affirmer le contraire, c'est aller à l'encontre de toute logique, pas seulement archéologique. Un autre exemple de représentation des cercles, très beau, est celui qui se réfère à la représentation druidique. On parle avec une affection particulière, car c'est à partir de ce symbole qu’on est parti pour une recherche qui m'a amené à affronter aussi l'événement dramatique de la haine millénaire contre les femmes, qui a culminé avec le génocide appelé "chasse aux sorcières", mais c'est un autre événement. Si l'on considère que la représentation des cercles est souvent associée à la représentation des triangles et des cônes, la chose prend des connotations en effet intéressantes. Un symbolisme théiste clair, le souvenir d'une grande puissance, d'une force absolue, divine. Il a été dit que les cercles pouvaient représenter des systèmes astraux, et l'hypothèse est intéressante. Seulement elle a une limite, très précise : souvent les cercles sont nombreux, très nombreux, trop nombreux pour reproduire des systèmes planétaires ou stellaires. Si l'on considère les représentations (merveilleuses et très précises, peut-être les meilleures de la planète) présentes à Cuba et en Sardaigne, on se rend compte que les cercles sont nombreux, équidistants, parfaitement ronds et sans aucune représentation astrale. Seulement les orbites ? Quel est l'intérêt ? Quel sens cela aurait-il eu de représenter certaines orbites, de surcroît rond et non elliptique ? De plus, le même concept d'"orbite ronde", si répandu sur la planète ?  Beaucoup plus logique, au contraire, qu'il ait été reproduit, partout, quelque chose de présent et de bien visible, exactement, partout sur la planète, c'est-à-dire les champs circulaires. Représentés il y a des millénaires et des millénaires dans une sorte de représentation théiste-post-technologique, comme une copie de ceux utilisés à l'origine par une civilisation extrêmement développée pour des modifications génétiques sur les végétaux grâce à l'exposition aux radiations, et dont on est déjà occupés en examinant, par exemple, le maïs. Mais ce n'est pas suffisant. Pourquoi aussi les représentations de cônes et/ou de triangles ?

Parce que près des champs circulaires il y avait souvent les grandes pyramides, que maintenant on peut affirmer être centrales pour la production d'énergie sans plus de crainte d'être prises pour archéo-émétiques ou quelque chose de ce genre, (les temps changent heureusement). La preuve ? Les champs circulaires, encore visibles aujourd'hui, ont été réalisés près des grandes pyramides : Amérique centrale (Pérou et Bolivie), Moyen-Orient (plateau du Golan), Asie de l'Est (désert de Gobi). On fait évidemment référence aux champs circulaires qui sont encore visibles aujourd'hui. Qui sait combien il y en avait. Combinaisons ?

Voulez-vous une nouvelle et incroyable démonstration de l'association des cercles concentriques et des pyramides dans une sorte de culte théiste post-technologique par ceux qui, ne pouvant manifestement pas comprendre la portée d'une telle technologie, associaient tout au pouvoir des dieux ? (exactement comme si aujourd'hui quelqu'un venant du cœur d'une forêt inexplorée entrait soudainement en contact avec une centrale électrique ou atomique en forme de pyramide et pouvait observer, près de ces centrales, les cercles concentriques avec lesquels, déjà dans les années 50, de telles expériences biogénétiques sur une base radioactive ont été reproduites).

Observez cette merveilleuse image, en provenance d'Australie, qui m'a été signalée par la très aimable Lucia Carabba (chercheuse de talent, qu’on salue et remercie pour son aide constante) : vous remarquerez des cercles et des pyramides. On ne le dit pas. Il suffit d'observer. On est exactement, dans la magnifique Australie.

 

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